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Belette d'Europe

La Belette (Mustela nivalis)
Eléments de biologie


Table des matières
1 -Description de l'espèce  5 - Comportement 9 - Age et longévité 13- Protection
2 - Localisation et populations 6 - Les sens 10 - Dynamique des populations 14- Photographies
3 - Habitat et milieu 7 - Traces et empreintes 11- Prédateurs naturels 15 - Bibliographie
4 - Alimentation 8 - Cycle de reproduction 12 - Chasse et piégeage 16 - Liens internet

1 - Description physique de l'espèce et caractéristiques

La Belette (Mustela nivalis Linné) est un petit mammifère carnassier qui appartient à la famille des Mustélidés. C'est le plus petit représentant Européen de cette famille, et le plus petit mammifère carnivore d’Europe (taille de 20 cm de long, poids de 100g). Ce Mustélidé possède une queue courte de couleur uniforme, entièrement brun-roux, ce qui la distingue de tous les petits carnivores (en particulier de l'Hermine, plus grande, et qui a une queue à l'extrémité toujours noire en forme de pinceau noir). 

Le mot Belette vient de la contraction de "belle petite bête".

Morphologie et anatomie

La Belette est un mammifère de très petite taille, au corps est mince et allongé. Le pelage du corps est brun sur le dessus, tandis que la gorge, la poitrine, et le ventre sont blancs ou gris clair, avec une ligne de démarcation irrégulière (contrairement à l'Hermine). Durant toute l'année, sa robe est plus rousse que la robe d'été de l'Hermine (qui est entièrement blanche en hiver).
Dans le Nord de l’Europe et en hautes montagnes, le pelage dorsal (jaune roux) de la Belette s'éclaircit un peu en hiver, et vire au "café au lait". 

Les pattes de la belette sont très courtes, brunes, avec le dessous blanc. Les oreilles sont courtes, à peines visibles.
On observe aussi une tache sombre sur la joue.

Le poids varie beaucoup d'un sexe à l'autre:
Le mâle est généralement beaucoup plus gros que la femelle. Son corps mesure de 17 à 22 cm (maximum 25 cm), et sa queue est  également plus longue (50 à 65 mm) que chez la femelle. Le poids moyen d'un mâle est de 110 g (entre 60 et 170 g). 
La femelle mesure de 16 à 19 cm de long (parfois 20 cm), avec une queue de 40 à 55 mm. Le poids moyen de la femelle est de 60 g (entre 35 et 90 g).
Le poids d'une Belette est donc celui de seulement trois ou quatre souris grises.

La Belette s'introduit sans aucune difficulté dans un trou de Campagnol des champs. Elle peut se faufiler à travers un trou minuscule de 23 millimètres de diamètre, gros comme... une pièce de 1 €. (Une femelle passe dans un trou encore plus petit). 

Dans certaines contrées très froides, son pelage est blanc en hiver (comme l'Hermine). Mais ce n'est jamais le cas en France. Les individus blancs qu'on peut observer chez nous sont des albinos aux yeux roses.

Classification de la Belette d'Europe 
Mustela nivalis Linné
European common Weasel

Règne  Animalia
Embranchement  Chordata
Sous-embranchement  Gnathostomata
Classe  Mammalia
Sous-classe  Eutheria
Ordre  Carnivora
Sous-ordre Caniformia
Famille  Mustelidae 
Genre  Mustela

Pelage de la Belette (Rolland)
Pelage de la Belette : brun dessus, blanc dessous, queue uniforme, tache sombre sur la joue

3 - Localisation et populations

Répartition géographique mondiale

La Belette se rencontre de l'Europe et du Maghreb à la Sibérie, au Japon et en Afghanistan. 
Elle a été introduite sur plusieurs îles de l'Atlantique et de la Méditerranée pour combattre les souris.

Répartition géographique en Europe

La Belette est particulièrement commune dans les régions bocagères. Elle habite également les bois et les montagnes jusqu'à la limite supérieure de la forêt. 
 Elle est commune à travers toute la France (Corse y compris), mais on la rencontre moins fréquemment en altitude et dans les grands massifs forestiers.
 En Wallonie, la Belette se retrouve sur l'ensemble du territoire.

Elle fréquente les lisières de bois, les haies, les talus, les buissons, les broussailles, les villages et les hameaux, les montagnes, et les plaines céréalières où pullulent les campagnols. Son territoire varie de quelques ares à 2 hectares

La Belette fréquente aussi bien les milieux ouverts que les milieux fermés de plaine et de montagne. On peut l'observer près des habitations, sur les chemins, le long des murs, des haies et des broussailles.  

Les effectifs de Belette varient considérablement, mais leurs fluctuations semblent suivre fidèlement l'évolution du nombre de rongeurs dont elle se nourrit préférentiellement. Sa présence est liée à l'abondance de ses proies. Certains individus sont sédentaires, d'autres erratiques.

3 - Habitat et utilisation du milieu 

La Belette peut s'installer et vivre dans tous les environnements naturels, sauf dans les grandes zones humides. On la rencontre donc à peu près dans n'importe quel biotope, comme l'Hermine (mais à la différence de cette dernière, elle évite les terrains humides). 
La Belette fréquente régulièrement les lisières de bois, les prés, les talus, les bords de fossés, les haies, les buissons, les broussailles, les vergers, les parcs, les champs et les bois. On peut l'observer près les villages et des fermes, dans les montagnes et les plaines. Elle préfère les zones cultivées, partout où il y a des proies à chasser.

La petite taille de la Belette lui permet de se glisser dans les galeries de rongeurs et de s’installer dans le terrier de petits rongeurs qu’elle a dévoré. Sinon, elle établit son gîte sous un tas de pierres, dans un trou de mur, dans une souche d’arbre ou entre les racines, ou dans une meule de foin. Le gîte est garni de poils et de plumes.

Elle s'installe selon l'abondance des rongeurs et en fonction des compétiteurs et de ses ennemis potentiels. 
Tous les autres prédateurs (Renards, Buse, Faucon crécerelle) ont besoin d'un minimum d'abris naturels (haies, buissons, talus, ronciers, ....) pour se dissimuler, gîter et se reproduire. En revanche, la Belette peut survivre dans des endroits totalement désertiques, telles les grandes plaines céréalières, justement où produisent les plus redoutables pullulations de campagnols (exemple de Hesbaye en Belgique, Wallonie).

4 - Alimentation

Régime et comportement alimentaire

La taille et la morphologie de la Belette en font un prédateur spécialiste de petits rongeurs. Elle peut en effet s'insinuer dans leurs galeries  les plus étroites (3 à 4 cm lui suffisent) et dévorer les occupants. 
Elle chasse donc presque exclusivement des petits rongeurs, essentiellement des Campagnols des champs, en les poursuivant jusque dans leurs trous. Elle peut tuer également et exceptionnellement quelques lagomorphes (jeunes lapereaux capturés au nid ou juste après leur sevrage, Delattre, 1987) ou de petits oiseaux (0 à 19 % des régimes observés (Perrins, 1965 ; Dunn, 1977)). Son menu spécialisé peut être occasionnellement complété par des insectes, des invertébrés (vers de terre), des mollusques, des amphibiens ou de petits reptiles (lézards). Mais les petits rongeurs constituent invariablement les proies principales de la Belette. Les insectivores (Taupes et Musaraignes) sont rarement consommées (Erlinge, 1975).

La Belette est fréquemment présente près des habitats humains, mais elle n'attaque que très rarement les animaux domestiques. Ce sont en fait les rongeurs anthropophiles (souris grises) qui l'attirent au voisinage de l'homme.

La taille des proies varie selon le sexe de l'animal et atteint des dimensions plus grandes chez les mâles, en relation avec leur taille plus forte.
Tous les spécialistes sont unanimes : La belette est “inféodée aux petits rongeurs et, en particulier, sous nos contrées, ...au campagnol des champs...Les petits rongeurs représentent presque la totalité des proies consommées (58 à 99%) ...” 
Bulletin mensuel n° 98 de l’Office National de la Chasse. 
Cette dépendance est telle qu'une population abondante de rongeurs est le facteur essentiel conditionnant sa présence (Delattre, 1987).

La Belette constitue souvent des réserves de proies à proximité des gîtes (Heptner et Naumov, 1974).

5 - Comportement

La Belette est surtout nocturne, comme les autres Mustélidés, mais son rythme d'activité est aussi bien diurne que nocturne, durant toutes les saisons. Elle est donc très active aussi pendant le jour, et chasse souvent des petits rongeurs durant les heures les plus chaudes.  
La Belette est solitaire et ne tisse aucun lien avec les autres adultes.
La sveltesse de ce petit mustélidé alerte et rapide lui permet de se faufiler rapidement dans une galerie de rongeur. La Belette passe donc une bonne partie de son temps sous terre, y chasse, s'y réfugie à la moindre alerte et y établit même son nid.
Elle se redresse parfois à la verticale pour observer les alentours (position en "I").

La Belette est une espèce très courageuse, elle n'hésite pas à faire face à des animaux bien plus forts qu'elle. Une femelle défend sa progéniture même contre un homme.

6 - Les sens

  La vision de la belette est adaptée à la chasse de la nuit et de jour, et lui permet de bien distinguer les formes. 
  La Belette est aussi capable d'entendre les ultra-sons jusqu'à 61 khz.
  Cette espèce siffle, crache et pousse des petits cris aigus pour donner l’alarme, des cris perçants pour intimider. 

7 - Traces et empreintes

Patte de Belette
grandeur nature

Les empreintes de Belette sont très petites, rares, marquant mal à cause du faible poids de l'animal (50 à 120g). Sur chaque patte, on observe 5 marques de pelotes en cercle, avec des griffes
Patte antérieure 8mm de largeur x 11mm de longueur.
Patte postérieure 10mm de largeur x 13mm de longueur
Empreintes de Belette

Voie de Belette (bonds)
Dessins: Volcelest

La pistes de la Belette peut présenter deux types de bonds. Les bonds normaux mesurent environ 20 cm, 30 cm à découvert et 50 cm lors de la fuite. 
La voie mesure de 2 à 3 cm de largeur.

La Belette se déplace seule en sautant, en grimpant et en courant vite sans aucune difficulté. En une seule nuit, elle peut parcourir 2 km.
Les laissées de la Belette mesurent de 2 à 3 mm de diamètre et 50 à 80 mm de long. Les crottes sont effilées à une extrémité, de forme torsadée au bout, sans odeur, de couleur gris foncé. Elles peuvent contenir des poils, des plumes, des os de rongeurs. Elles sont déposées sur une butte (marquage territorial)... mais une motte de 3 cm de haut peut suffire.

8 - Cycle de reproduction

Les Belettes mènent une vie solitaire, mis à part pendant la période de reproduction. L’accouplement des Belettes a lieu au printemps. Il semble que la Belette puisse se reproduise en n'importe quelle saison de l'année. 

Fait exceptionnel chez les carnivores, il y a soit une seule portée par an (les mauvaises années), soit de deux portées par an (les années riches en campagnols). La Belette est vivipare ( les bébés naissent déjà formés). La gestation dure 5 à 6 semaines. La reproduction s'effectue entre le mois d'avril et le mois d'août, avec 4 à 8 jeunes par portée (parfois 2 à 10) qui naissent en été. La femmelle met bas dans un nid souterrain, fait de de feuilles et d'herbes sèches dans un trou, un arbre creux ou sous un tas de pierres. 
Les petits  restent quelques temps avec leur mère, ouvrent les yeux à 4 semaines, et sortent peu après pour la première fois du nid pour se disperser. Ils s'émancipent à l'âge de 12 semaines.

Le nombre de jeunes varie énormément selon les régions et les années. Il fluctue avec le nombre de rongeurs disponibles et atteindra un maximum lors des grandes pullulations. Le chiffre moyen varie de 3 à 9 petits qui sont allaités 3 à 6 semaines ou plus (Delattre, 1987). 

9 - Age des animaux

La longévité maximale de la Belette est de 7 ou 8 années environ. Toutefois, la mortalité annuelle moyenne établie varie de 75 à 90 % de la population (King 1980). La forte capacité de reproduction de la Belette est donc limitée par une forte mortalité annuelle.  Très peu de Belettes survivent à leur première année.

10 - Démographie et dynamique des populations

La densité des populations de Belette varie selon des cycles pluriannuels (alternances régulières de densité) selon les régions, tous les 2 à 4 ans.
De fortes densités de Belettes (30 individus par km2) accompagnent de fortes populations de campagnols agrestes ( Microtus agrestis) (de 100 à 450 individus/hectare) selon Lockie (1966). A l'inverse, il y a peu de Belettes (moins de 0,2 individus/ km2) durant les phases de faible densité de rongeurs. Les proies et les prédateurs sont ainsi fortement corrélés. Pendant un même cycle et dans un même site, les densités varient de 1 à 100 (Delattre, 1987). Le délai de réponse des effectifs de la Belette à une augmentation de densité de Microtus est inférieure à 1 an. Lorsque les densités de Belettes sont parvenues à un niveau élevé, une chute brutale de ces densités succède à la phase de déclin de la proie, même en présence de proies de remplacement.

Le nombre des jeunes Belettes est très dépendant de la quantité de petits rongeurs présents et varie de 8 à 10 lors des “années à Campagnols”. Si la nourriture est rare, la reproduction est retardée voire annulée, ou ne compte que 4 a 5 petits.

Le maintien des petits rongeurs à des niveaux raisonnables de densité fait intervenir un mécanisme entre proies et prédateurs qui met en jeu simultanément plusieurs espèces de carnivores complémentaires :

- Les prédateurs spécialistes ( Belette, Hermine) jouent un rôle déstabilisant sur les populations de rongeurs lorsque ces derniers pullulent.
- Les autres carnivores généralistes (Renard, Buse...), qui consomment aussi d'autres proies que les rongeurs, jouent un rôle régulateur durant les phases de déclin et quand les proies ont de faibles densités (Fitzgerald, 1977). 
Ainsi, ils maintiennent à un bas niveau les effectifs de rongeurs et retardent le développement d'une nouvelle pullulation.

11 - Prédateurs naturels

La Belette possède des glandes anales aux sécrétions répulsives, mais elle a cependant de nombreux ennemis naturels. C'est principalement le cas du Renard, du Chat sauvage (et des chats domestique et haret), ainsi que des autres mustélidés : Fouine, Putois (Erlinge et al., 1982).
Elle est  rarement au menu des oiseaux rapaces : Buses, Autours, Chouettes hulotte et Chouette effraie, Hibou grand-duc....(Powell, 1973 ; Delattre, 1987).

12 - Chasse et piégeage

La Belette ne commet pas de dommages à la faune sauvage (elle ne touche pratiquement jamais aux lapins, sauf aux jeunes), ni sur les volailles dans les basses-cours. Occasionnellement, elle prélève quelques proies dans les petits élevages et ne fait que de rares incursions dans les poulaillers et les pigeonniers. Elle n'est pas non plus responsable de la diminution massive des perdreaux.
Cependant, l'espèce peut actuellement être chassée ou piégée en France. Selon l'arrêté ministériel du 7/11/2002, la Belette est "espèce nuisible" comme la Martre et le Putois !

13 - Mesures de protection

Il n'y a actuellement aucune menace particulière sur la Belette en France. Actuellement, cette espèce est seulement partiellement protégée. En France, elle peut en effet être capturée sous certaines conditions, mais son transport et sa naturalisation sont interdits. La Belette figure en Annexe III de la Convention de Berne.

Malgré sa réelle utilité, la Belette est encore aujourd'hui fortement calomniée, on la persécute partout et en tout temps. C'est pourtant un prédateur des souris et des rats (qui s'attaquent à la volaille, au gibier et aux oiseaux), et elle détruit des quantités énormes de campagnols et de rongeurs nuisibles (qui s'en prennent aux cultures). Au vu de son alimentation spécialisée, la Belette ne devrait donc pas être classée parmi les espèces nuisibles. Un déclassement de la liste des nuisibles serait même fortemement souhaitable.
Malheureusement, certains chasseurs ou piégeurs ignorent les travaux scientifiques sur l'alimentation de la Belette et continuent de croire aux vieux préjugés.

La destruction inconsidérée des Belettes pose pourant des problèmes écologiques, car l'absence de prédation favorise la pullulation des rongeurs (mulots et campagnols des champs). La Belette, espèce utile, devrait logiquement être tolérée et même être protégée.

14 - Photographies de Belettes d'Europe

La Belette est discrète et passe donc généralement inaperçue. Mais elle est assez curieuse et peut être observée plusieurs minutes, à distance, sans prendre la fuite. La plupart des observations sont furtives. Les photos ci-dessous sont prises dans un pré où abonde le Campagnol terrestre.

Bond de Belette
Course d'une Belette dans la neige (C. Rolland 2006)
Déplacement par bonds de 40 cm environ. La queue n'a pas de noir au bout.

Belette d'Europe dans la neige
Pelage de la Belette (C. Rolland 2006)
Dos brun foncé, ventre clair et limite entre les deux irrégulière 

Mustela nivalis
Belette (C. Rolland 2006). Noter la tache sombre sur la joue.

Belette (European common Weasel)
Belette (C. Rolland 2006) Remaquer la très petite taille, les oreilles peu visibles, le ventre blanc clair, le dos brun (même en hiver).

15 - Bibliographie:

  • Encyclopédie des carnivores de France.
  • Documents de l'ONCFS.
  • Delattre (1987).

MICMACHER Carole, GRANDCOLAS Stéphane (1991). Atlas zoologique. Toutes les espèces animales d'Europe.  Comptoir du livre, Créalivres, Paris. 343 p. ISBN 2-86721-235-9.


16 - Pages de sites internet 

La protection de la Belette, espèce utile qui mériterait d'être déclassée "nuisible" (ligue ROC).
http://www.roc.asso.fr/protection-faune/belette.html 
Les traces et empreintes de la Belette (site de chasseur)
      http://volcelest.chez-alice.fr/belette.htm 
Les empreintes de la Belette

http://membres.lycos.fr/chernature/empreintes/introduction_traces.htm 

Les Espèces chassées : la Belette
http://www.chasses-du-monde.com/europe/especes-chassees/belette.htm 
http://www.chassepassion.net/belette.php
 
Quelques généralités sur la Belette
http://fr.wikipedia.org/wiki/Belette 
La Belette en Belgique 

http://mrw.wallonie.be/dgrne/ong/refuges/belette.html 

La Belette en France

http://inpn.mnhn.fr/isb/servlet/ISBServlet?action=Espece&typeAction=10&pageReturn=ficheEspeceFiche.jsp&numero_taxon=60716 

Photos de crânes de Belette
http://1kai.dokkyomed.ac.jp/mammal/en/species/mustela_nivalis.html 

17 - Fiches d'autres espèces

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